Jeudi soir les délégués à l’appel du vice-président Gilbert Schuh vont élire un nouveau président pour succéder à Serge Starck démissionnaire.
Le Républicain Lorrain consacre un large article à cet événement. Plusieurs vice-présidents ou délégués s’expriment sur cette succession. Si aucun candidat n’est déclaré, le Républicain Lorrain parle d’Héritage empoisonné.
HERITAGE EMPOISONNE?
Comment peut-on parler d’héritage empoisonné, puisqu’à quelques exceptions près tous les délégués actuels sont responsables de ce marasme financier.
L’ADQV l’avait prévu dès 2008 en s’adressant à Charles Stirnweiss qui balaya ces craintes d’un revers de manche en affirmant:« Nous avons un brevet, il va rapporter des sous dans le monde entier ».
QUI SONT LES HÉRITIERS EMPOISONNÉS?
Tout simplement tous les contribuables qui doivent aujourd’hui reverser ces emprunts et dettes considérables!
Pierre Lang affirme: » Il y a un travail énorme à faire pour redresser les finances sur 10 ou 15 ans ».
Donc nos enfants aussi seront les héritiers de ces gestionnaires incompétents.
NE VAUDRAIT-IL PAS MIEUX DE QUITTER LE NAVIRE TANT QU’IL EST ENCORE TEMPS?
A l’ADQV nous le pensons, en négociant le coût de la sortie et en portant plainte contre ceux qui ont commis des actes répréhensibles. Comme dans toutes les collectivités, la gestion financière est soumise aux contrôles comptables qui ont certainement une responsabilité dans cette folie financière. Ensuite ceux qui ont commis des délits. La Chambre Régionale des Comptes, a dans un rapport d’octobre 2017, relevé un certain nombre d’anomalies graves et puisqu’il s’agit de magistrats les preuves ne sont plus à démontrer.
Il en va de même avec l’annulation du budget 2016 par le Tribunal administratif saisi par l’ADQV qui a relevé des anomalies graves.
LE PRÉJUDICE SUBI PAR LES CONTRIBUABLES DOIT ETRE PRIS EN COMPTE PAR NOS REPRÉSENTANTS
Attendons jeudi soir pour voir si nos délégués sont dignes de nous représenter ou si leurs intérêts sont ailleurs.
Le président de l’ADQV Rémy Seiwert